Voila, je vous présente ici le livre que j'ai créé ya quelques années.
Bon il est en 3 tomes ( bien sur pas terminé ( je le trouvais trop nul alors j'ai arrete^^ ) !!!
Bonne lecture ( je vous met que le chapitre 1 pour pas trop vous degouter :p ) !!
Tome 1 : Les premices du vent.
Chapitre 1.
Alaco se reveilla brutalement. Encore une fois, il avait refait le même cauchemard. Il rêvait d'être dans une grande plaine, seul, indépendant. Il sentait une force bizarre à l'intérieur de son corps qu'il parvenait à controler. Il pouvait diriger le vent. Tandis qu'il jouait avec celui ci, quelqu'un arriva par derrière et lui planta un couteau dans le dos et cela le reveillait en sursaut. Depuis 3 nuits , Alaco faisait ce rève, surement son subconscient qui lui jouait des tours.
Alors qu'il etait perdu dans ses pensées, une voix famillière aux oreilles du jeune homme cria :
« - Alaco !!!! Il est deja 11H00 ! N'oublie pas qu'aujourd'hui tu dois aller voir ta soeur au palais. »
C'était vrai, il avait deja oublié. Il n'avait pas une très bonne mémoire. D'ailleurs, pensa t-il, il n'avait pas grand chose. Agé de 18 ans, il etait timide, faible et de plus inconscient. Sa réputation au village était aussi noire qu'une éclipse totale : les jeunes le traitait de lache et rigolait de ses faiblesses et les adultes le traitait d'enfant « obscure » dont rien ne pourrait jamais sortir de bon. En effet, ainsi était considéré les enfants abandonnés par leur père. Celui d'Alaco, avait disparu en apprenant sa naissance, il passait pour un être malsain à qui il ne fallait guère donner sa confiance.
L'enfant « obscure », heuresement, n'avait reçut que peu de choses de son père malgrès son physique. En effet, assez grand et maigre, il avait des yeux verts. La pire marque de son géniteur était ses cheveux blonds assez long, qu'il était le seul à posséder à Serenity, son village, et cela n'améliorait guère sa réputation. En effet, les cheveux clairs étaient annonciateur de malheur. A l'opposée, il avait reçut de sa mère la gentillesse et la bonté. Pour lui il était un enfant de deux êtres contraires représentant en quelque sorte le bien et le mal
A cause de tout cela, Alaco n'avait que peu d'amis. Il pouvait les compter sur une main, et même sur un doigt. Il n'y avait que Malduin, un homme agé inspirant un profond respect. Il passait des heures à parler avec le jeune homme. Il lui racontait des contes, des histoires merveilleuses qui transportait le garçon dans un monde de rêve ou il pouvait se réfugier.
Se levant difficilement, il enfila sans tarder ses habits qu'il affectionnait particulièrement. Il les tenait de sa grand mère, une grande femme très appréciée au village et qui gatait le plus possible son petit fils. Elle ne le voyait pas comme l'enfant du mal, mais comme celui de sa fille et cela comblait Alaco de bonheur.
Sa famille était vraiment merveilleuse. Sa mère était fière de lui et le réconfortait dès qu'elle pouvait et une demi-soeur simplement sublime qui se nommait Tereva. Elle etait dotée de tous les talents. Douée à l'épée et à l'arc, sa spécialité etait tout de même la politique ou elle excellait. Alors qu'elle n'avait que 23 ans, elle était deja conseillère du roi et avait deja empêchait de nombreux conflits. Son physique n'était pas non plus déplaisant pour les jeunes hommes : elle était grande, avec des cheveux bruns jusqu'aux épaules, possédait des yeux bleux étincelants et quelques taches de rousseur venaient adoucir les formes lissent de son visage.
Alaco était fier de sa famille et se hatait de voir sa soeur. Après avoir serré sa mère sans ses bras, il partit vers le palais de Sérénity. Sans faire attention aux regards noirs qui se posaient sur lui, il garda son sourrire jusqu'au palais. Devant l'entrée, des jeunes de son age le regardèrent en rigolant. Ils s'exerçaient au combat d'épée en bois. Quand l'enfant « obscure » arriva, les remarques fusèrent de partout :
« Et ! La mauviette ! Tu veux faire un combat ? Lança Tarask, le chef du groupe.
Arrete, gémit un de ses camarades, il ne sait meme pas tenir son épée plus de deux secondes.
La dernière fois, je crois que sa mère est venue le récupéré tellement il pleurait. »
Tout le monde s'esclaffa. La haine et l'envie de se battre montait en Alaco. Il ne pouvait jamais se controler dans ses situations, il voulait se battre. Le jeune homme avait en effet une envie obsédante d'avoir du pouvoir. C'était ce qu'il désirait le plus au monde et malheuresement, pour lui, elles étaient impossible a obtenir.
Essayant de se contrôler, il passa devant la bande en regardant droit devant lui. Tout un coup, il entendit l'éternelle remarque qui le mettait hors de lui :
« Tel père, tel fils. »
Alaco fit volte-face et lança un regard noir à celui qui avait éloqué ces paroles. C'était Tarask. La rage et l'envie l'emportèrent sur la raison et l'enfant « obscure » prit une épée posée par terre. Un sourrire grandit alors sur les lèvres de son adversaire. La victoire lui était assurée. Faisant le double, il n'avait aucune raison de se méfier d'un être aussi faible. Pourtant le combat s'engagea.
L'épée semblait lourde dans les mains du jeune combattant. Comment réussir a donné un coup si chaque soulèvement d'épée était un supplice ? Après quelques remarques pour attirer les villageois, Tarask frappa son premier coup et son épée fit voler celle de son ennemi. Il continua néamoins de l'attaquer pour montrer sa supériorité. Heuresement, l'agilité était le point fort d'Alaco et il esquiva tous les coups jusqu'à ce qu'il tribuche à cause d'un pied de villageois et tombe a la renverse. Il voyait déjà la lame en bois s'applatir sur lui, quand une voix retentit :
« Arrete !!!! »
Tout le monde se retourna, Tereva était la, sur le haut des marches, le regard noir en direction du vainqueur. Elle avança doucement et lança d'une voix qui laissait sous entendre une multitude de menaces :
« Que fais tu ? »
Je donne une leçon à l'enfant « obscure ». Il faut qu'il sache qu'il est faible.
Si tu aimes tant les leçons, je vais t'en donner une, déclara Tereva d'une voix si seraine qu'elle fit frémir la totalité du public.
Je n'ai pas à me battre avec toi. Tu es une représentante de l'ordre et tu es forte, je le sais. J'admire tout en toi, sauf ton demi-frère. Il faut que tu vois la réalité en face, il est comme son père, ce sont les liens du sang.
Ta force et ta haine te perdra Tarask. Tu admires trop la puissance. En garde, ordona la femme en prenant l'arme du vaincu.
Alaco recula et admira le combat. L'agilité, la force et même la facilité de sa soeur l'admirait. Dansant presque avec l'épée, elle mit une trentaine de seconde à battre son adversaire. Après une rapide salutation, elle prit la main de son petit frère pour l'emmener à l'intérieur du palais.
Souriant, le jeune homme encore sous le choc du combat commença la discussion :
« Merci de m'avoir sauver. Tu es vraiment la meilleure epéis...
Stop ! Alaco, tu me déçois, pourquoi avoir accepté ce défi ? Tu sais qu'il est très fort à l'épée. C'était du suicide !!!
Désolé, balbutia le garçon en rougissant, je n'ai pas pu me controler.
Pourtant, tu le dois. Tu as des tas de qualités petit frère, mais pas celle de te battre. Je ne veux pas qu'on te fasse du mal. Je te défendrais mais ne te mets pas dans de tels situations si ce n'est pas obligatoire, d'accord ?
Cette réplique coupa la parole au jeune homme qui se sentait tout à coup inofensif. Il parvint tout de même à faire un signe bref de la tête. Après être rentré dans une salle et avoir bu un peu de thé, il reprit la parole :
« Comment vont les conflits en ce moment ?
Mal, dit sa soeur inquiète. Comme je te l'ai dit, Toute la vallée du milieu a été envahit par l'armée des ombres. Ils pourront bientôt atteindre notre pays. J'ai peur de ne rien pouvoir faire pour changer les choses.
Mais, n'y a t'il pas le Nettil ? Cette chaîne de montagne est infranchissable ! Elle forme un triangle séparant les 3 grandes contrées : La terre isolée, la vallée du milieu et le pays des rois. Ils ne pourront jamais passer !
J'aimerai avoir ton assurance. Mais des choses mystérieuses se passent. Des rumeurs disent que l'armée est controlée par un membre de L'Ile des sorciers.
Co-co-mentt est ce possible ?? begaya le jeune homme. Cette longue île est extremement loin ! Elle est isolée et personne n'a jamais vu quelqu'un venir de ce lieu.
Oui mais personne n'en ai jamais revenu non plus. Les sorciers sont très fort, tu sais. Ils ont détruit beaucoup de terre et tuent sans se soucier des gens selon nos manuscrits. Et il paraitrait qu'ils se seraient tous réfugiés sur cette île.
Peut être... Je ne pense pas qu'ils soient tous comme ca. Tout du moins, j'ai vraiment un étrange pressentiment. C'est comme ci je sentais que tout ce que tu m'as dis allait arriver
Allez, ne t'inquiète pas petit frère ! Tout va s'arranger. Je suis désolée, je dois aller travailler. Que dirais tu d'aller voir ton ami Malduin ? Vous passerez un bon moment !
Oui, d'accord. Merci encore pour tout a l'heure. Tu es vraiment la meilleure. »
Après lui avoir fait un petit baiser sur la joue, Tereva partit. Alaco s'assit sur une chaise. Pourquoi avait il eut cette appréhension ? Comme ci ce terrible danger allait se réaliser. Chassant ces terribles idées de sa tête, il décida d'aller voir son vieil ami et de lui raconter son étrange rêve. Rares étaient les occasions où il pouvait lui raconter des histoires fantastiques. Malheuresement, celle ci finissait mal...
ps : désolé pour les fautes :p
